Le second empire vu sous l'angle des Rougon, archétypes de la bourgeoisie ambitieuse et parvenue.

"L'Assommoir", septième volume de la série "Les Rougon-Macquart" publié en 1877, est considéré comme le plus grand roman d'Émile Zola. L'ouvrage est totalement consacré au monde ouvrier et, selon Zola, c'est "le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple". L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. "L'Assommoir" raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, honnête blanchisseuse de la Goutte d'Or dans le Paris populaire de 1850.

"Je veux vous expliquer comment une famille, un petit groupe d'êtres, se comporte dans une société, en s'épanouissant pour donner naissance à dix, à vingt individus, qui paraissent, au premier coup d'oeil, profondément dissemblables, mais que l'analyse montre intimement liés les uns aux autres. L'hérédité a ses lois, comme la pesanteur." Emile Zola.

À la suite de la mort de son épouse, Jean Macquart, désespéré, personnage principal de "La Terre", reprend du service dans l'armée. Incorporé dans le 106e de ligne, il y est caporal. Ses hommes le respectent. Lors de la guerre franco-prussienne de 1870, il ne peut qu'assister impuissant à l'effondrement de l'Empire et à la déroute de ses armées.

Inspiré à Balzac par son expérience dans l'imprimerie, Illusions perdues raconte l'échec de Lucien de Rubempré, jeune provincial épris de gloire littéraire. En contrepoint au parcours malheureux de ce "grand homme de province", alternativement héros et antihéros plein de faiblesses, l'histoire évoque les modèles de vertu que sont la famille de Lucien et le "Cénacle", cercle intellectuel de "vrais grands hommes".

"Du côté de chez Swann" est à la fois l'ouverture de toute l'œuvre, et un roman complet, pourvu d'une conclusion, certes provisoire, mais dont la désillusion peut paraître, à qui ne lirait pas plus loin, le dernier mot de "La recherche".

Russie, début du XIXe siècle. À l'Ouest de l'Empire, les guerres napoléoniennes font rage et se rapprochent dangereusement des frontières. De Moscou à Saint-Pétersbourg, la noblesse et la grande bourgeoisie vivent inconscientes du danger, et organisent dîners et bals. Ainsi le comte Rostov qui s'apprête à célébrer la fête de sa fille Natacha ; du prince André Bolkonski et de sa jeune épouse, Lise, enceinte.

Comme le confesse Émile Zola, critique d'art, ami d'enfance de Paul Cézanne, fervent défenseur de Manet, de Monet et des impressionnistes contre l'art académique,: " 'L'Œuvre' est un roman où mes souvenirs et mon cœur ont débordé". L'ouvrage suit une bande d'amis constituée autour d'un peintre et d'un écrivain. Ils fréquentent d'autres artistes, des sculpteurs, des architectes et des journalistes. L'auteur se met en scène dans le personnage de l'écrivain Pierre Sandoz, l'ami d'enfance de Claude Lantier, peintre génial mais maudit.

Issue de la bourgeoisie, Emma Bovary est élevée dans un couvent, où elle fera son "éducation sentimentale" en lisant les œuvres romantiques à la mode. Son mari, Charles Bovary, ne ressemble en rien aux amants mystérieux et délicats de ses lectures : c'est un officier de santé qui exerce dans un village normand où Emma, confrontée à la réalité de la vie quotidienne, va peu à peu perdre pied.

L'éducation sentimentale est un roman initiatique, partiellement inspiré des expériences de l'auteur et qui a ouvert la voie au mouvement littéraire du naturalisme, tourné vers la critique sociale et politique. Le jeune provincial Frédéric Moreau, nouvellement bachelier arrive à Paris pour faire des études de droit, il est plein de rêves et d'ambition. C'est alors qu'il croise Madame Arnoux, pour le jeune homme c'est "une apparition" qui le marquera à jamais. Étudiant velléitaire, amoureux insatisfait, entravé par des revers de fortune dans un Paris à la veille des insurrections de 1848, il va naviguer dans une société petite bourgeoise.

Voici l'histoire d'un amour impossible dans un océan de haine, l'histoire de l'innocence manipulée par la ruse, l'histoire de la barbarie humaine, de la guerre, de la vengeance : une histoire si belle et terrible à la fois, une histoire de trahisons. C'est aussi une ode épique, pleine de lumières et de ténèbres, de joies et de souffrances, de richesses et de misères où luisent les diamants, les lapis-lazuli, l'or et le marbre. C'est aussi l'abomination de la guerre, où les chairs éclatent sous les coups, où les combattants imaginent les ruses les plus folles pour anéantir leurs ennemis.

Par cette fresque aux allures de roman policier, Balzac dépeint et fustige les incohérences sociales, politiques et judiciaires de son époque. Paru sous forme de feuilleton entre 1838 et 1847, "Splendeurs et misères des courtisanes" est un roman foisonnant de personnages hauts en couleur mêlant intrigues amoureuses et policières dans le Paris interlope du XIXème siècle. Le jeune et beau Lucien, monté à la capitale avec des ambitions littéraires sera confronté aux milieux du crime et de la prostitution, tombera sous l'emprise d'un ancien bagnard.

L'action se situe en 1625, sous le règne de Louis XIII. D'Artagnan, jeune gascon courageux et rusé, est muni d'une lettre de recommandation de son père pour M. de Tréville, commandant des Mousquetaires. Très vite, il devient l'ami de trois gentilshommes, mousquetaires du roi, Athos, Porthos et Aramis. Tous quatre vont sauver la reine Anne d'Autriche des perfides manœuvres de Richelieu. Des aventures semées d'embûches qui ne feront pas renoncer les quatre compères.

Les bouleversements de la première moitié du vingtième siècle - révolutions et guerres meurtrières, génocides, cracks économiques sans précédents - ont profondément transformé les bases même de la pensée européenne. Jusque là conquérante, positive, défrichant sans relâche ni lassitude les territoires de la pensée ou les derniers mystères du monde, elle se met à douter d'elle même et plus encore du sens même de l'existence.

Dans "La Peau de chagrin", un de ses premiers romans à coloration fantastique, Balzac nous dévoile le mythe sans doute le plus central dans "La Comédie Humaine"...

When mystery author D. B. Ziegler is late delivering her book, Abi Schore steps in to help. Surely she can give her favorite author moral support over the holiday break and get the manuscript to her boss at Tea & Sympathy Publishing in time for the new year. When Abi shows up on Ms. Ziegler’s doorstep bearing holiday treats, she’s met by the author’s handsome grandson Dov, who reveals a startling plot twist. His grandmother isn’t able to finish the book and Dov promised he’d complete it so fans won’t be disappointed—a task that’s harder than he ever imagined.

Two little girls stand with their heads bowed in my living room. I’m told they’re my granddaughters. Daisy is nine, and Alice seven. Daisy is the spitting image of her mother. This is the first time I’ve met them since my daughter and I fell out after she married that waste of space, Vince. They’ve come to live with me because their mother — my daughter — was murdered. In her own home while they slept close by. I think Vince killed her. But the police can’t prove it. I’ve always known he was no good. He treated my daughter like dirt. I said he’d cheat on her — but she wouldn’t listen.

There's no place like home for the holidays ... especially for Lesley Carver. Life in the big city just wasn't her jam and now she's back in Hickory Falls, working at the family diner and helping her mom after she took a tumble. Lesley longs to build a life here, working at the cafe, selling her handmade ornaments and ... er, apparently reviving her high school crush on her best friend’s older brother. Only one problem, her mom wants her to leave Hickory Falls far behind.

Tilly Farriday isn’t feeling very jolly this season. Recently divorced and broke, she’s squatting in one of her rental agency’s properties until her new home is ready. The sprinkles on top of the burnt Christmas cookie that is her life? The new owner shows up early, forcing Tilly to hide in the attic to save her job…and what remains of her dignity.

First published in 1843, it tells the story of Ebenezer Scrooge, a mean and unpleasant man who dislikes people generally and Christmas especially. One Christmas Eve he is visited by the ghost of his former business partner Jacob Marley and the spirits of Christmas Past, Present and Yet to Come and given a glimpse of the many homes and lives which Scrooge has touched in his wretched life to date. After their visits, Scrooge is transformed into a kinder, gentler man.

It’s 1984, and life has changed beyond recognition. Airstrip One, formerly known as Great Britain, is a place where Big Brother is always watching, and nobody can hide. Except, perhaps, for Winston Smith. Whilst working at the Ministry of Truth, rewriting history, he secretly dreams of freedom. And in a world where love and sex are forbidden, where it’s hard to distinguish between friend and foe, he meets Julia and O’Brien and vows to rebel.

Clark Griswold was onto something...at least with his annual holiday meltdown. And since the last three weeks of my life have been riddled with humbug—another breakup, a broken toe, an office promotion I deserved and didn’t get—I’m not at all in the mood to celebrate nor have the happ, happ, happiest Christmas EVER.

My fiancé brought me tea and scrambled eggs in bed that morning, and we snuggled together, talking about buying our rings, and about our perfect wedding next year. Then we headed into town. He held my hand and gazed at the ring I liked best, a smile spreading slowly over his face. Then a glass of bubbly to celebrate. I felt flushed, excited and ready for the rest of my life with the man I loved. We race to get on the train home. It screams to a halt and I run towards its open doors. Made it. I think he’s right behind me — but when I turn around, he’s gone.

Lucas knows the perfect night entails just three things: video games, wine, and pad thai. Peanuts are a must! Other people? Not so much. Why complicate things when he’s happy alone? Then one day the apartment board, a vexing trio of authority, rings his doorbell. And Lucas’s solitude takes a startling hike. They demand to see his frying pan. Someone left one next to the recycling room overnight, and instead of removing the errant object, as Lucas suggests, they insist on finding the guilty party. But their plan backfires. Colossally.

Johnnie Rico never really intended to join up—and definitely not the infantry. But now that he’s in the thick of it, trying to get through combat training harder than anything he could have imagined, he knows everyone in his unit is one bad move away from buying the farm in the interstellar war the Terran Federation is waging against the Arachnids. Because everyone in the Mobile Infantry fights. And if the training doesn’t kill you, the Bugs are more than ready to finish the job.