Alexy, 23 ans, est alternant chef de projet à la direction financière chez Altice France. Il a un handicap moteur et se déplace principalement en fauteuil roulant manuel.
Alexy raconte comment il a grandi en milieu ordinaire et en milieu adapté - ses plus belles années, ses 1ères expériences plus ou moins réussies dans la vie active et son arrivée dans le Groupe Altice.
« Le handicap ce n'est pas grave, la différence fait notre force, en 2020 ça ne devrait plus choquer ».

Hannan, 42 ans, est chargée de projets au sein du support technique client et opérateur chez SFR. Elle a une maladie invalidante, la maladie dite « des os de verre », qui occasionne des troubles physiques et auditifs et nécessite des aménagements de poste.
Hannan raconte son parcours, ses embuches, les difficultés dépassées et le soutien et l'accompagnement de la Mission Handicap.
« Le regard que l'on porte sur soi a un impact sur le regard que les autres portent sur nous ».

Olivier, 47 ans, est assistant d'édition pour la Matinale de RMC. Il a un handicap physique visible puisqu'il a été amputé de la jambe droite à la suite d'un cancer à l'âge de 9 ans et il marche avec des béquilles.
Olivier raconte ses choix professionnels, l'acceptation du regard des autres, grâce au handisport notamment, mais aussi grâce à l'humour de ses collègues.
« Le travailleur handicapé est un travailleur comme les autres ».

Isabelle, 55 ans, est manager déploiement et maintenance IT des Espace SFR. Elle est ce qu'on appelle un « aidant familial » puisqu'elle a un fils autiste.
Isabelle raconte la prise en charge de l'autisme dans la société, les incompréhensions, les réflexions culpabilisantes et par-delà, sa volonté indéfectible de concilier vie privée et vie professionnelle active en assumant pleinement ses responsabilités et avec le soutien de son manager.
« Il faut absolument communiquer et demander de l'aide quelle qu'elle soit … parce qu'un aidant qui va mal, c'est un aidant qui n'est pas productif ».

Maxime, 37 ans, est rédacteur en chef adjoint au sein des chaines de radio et de télévision du Groupe Altice Media. Il est responsable du pluralisme et des relations avec le CSA et il a une maladie respiratoire.
Maxime raconte son cheminement personnel, ses frustrations, l'adaptation à sa situation, de son acceptation à son officialisation. Il explique aussi son cheminement professionnel et la prise en compte du handicap dans les médias, à commencer par la question du vocabulaire.
« On ne peut pas prétendre savoir si on est concerné ou pas jusqu'à temps d'en avoir parlé à quelqu'un ».