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Les fêtes du Bimillénaire se tiennent et sont un succès : c'est aussi un dernier hommage à Herriot mais Pradel, qui est désormais le narrateur, raconte comment il a su reprendre à son compte les festivités, lui qui en avait été le principal chef d'orchestre, à la tête de la Commission de ces Fêtes avant la mort d'Herriot, comme adjoint aux Beaux-Arts. Le doute plane sur sa culpabilité.

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Les demandes se sont bousculées, c'est un vaste fourre-tout, la Commission n'a pu répondre à toutes les sollicitations et Herriot soupçonne les uns et les autres de l'avoir empoisonné. Dans un éclair de lucidité, en fin d'épisode, il s'écrie avant de mourir : "Pradel m'a tuer"

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Sur son lit de mort, Herriot retrace les origines des fêtes du Bimillénaire qu'il a mises sur pied mais qu'il ne verra pas. Il s'est saisi de cet événement pour magnifier son mandat et sa Ville. Sa grandiloquence et la mobilisation qu'il met en route dépassent l'entendement, il a vu très grand ! Ainsi, il tient sa revanche en redorant son image de maire vieillissant et auprès de la Capitale.

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