Après plusieurs essais, voici quelques haïkus provenant de ChatGPT (https://chat.openai.com/).

En voici la transcription:

Sur le chemin lisse,
Le vent chante à mes côtés,
Roues dansent en paix.
Sous le ciel bleu pur,
Pédaler vers l'horizon,
Liberté sans fin.
Roues tourbillonnent,
Échos de joie dans le vent,
Nature en mouvement.

Et c'est encore avec ChatGPT (https://chat.openai.com/) que cette poésie sera générée. Le thème: Les constellations.

Le texte:

Dans les cieux étoilés, constellations brillantes,
Des histoires anciennes, des légendes chantantes.
Orion chasse l'ours, Sirius guide les marins,
Dans l'immensité du cosmos, des destins sans fin.
La Grande Ourse danse avec la Petite,
Des étoiles filantes, une pluie de mérites.
Cassiopée se pare de sa beauté céleste,
Pendant que Persée poursuit sa noble quête.
Au firmament s'étalent des milliers de joyaux,
Comme des vers enroulés dans un éternel étau.
Les étoiles racontent des sagas immortelles,
Aux âmes égarées et aux rêves fidèles.
Étoile du Berger guide les pas des amants,
Dans l'obscurité, un doux éclat réconfortant.
Les constellations tracent des routes dans l'espace,
Un tableau divin, une divine grâce.
Que les étoiles scintillent dans nos cœurs épris,
Éclairant nos chemins dans l'obscurité des nuits.
Les constellations, tels des poèmes en lumière,
Écrivent sur la voûte céleste une éternelle prière.

Dans ce nouvel épisode, nous explorons la ville du Havre avec ChatGPT (https://chat.openai.com/) .

Voici le texte:

Au Havre, ce port aux voiles gonflées,
Où les marins racontent leurs périples passés,
Sous le ciel immense et bleu azuré,
Les vagues chuchotent leurs secrets murmurés.

Dans les ruelles étroites, pavées de mémoire,
Les façades te parlent d'une histoire,
Des échos de corsaires, de flibustiers,
Qui ont bravé les tempêtes sans jamais renoncer.

Les mouettes dansent, les bateaux s'embrassent,
Les quais s'animent, la ville s'enlace,
Dans une symphonie de vies entrelacées,
Où chaque jour est une nouvelle escapade.

Au Havre, où le vent souffle en liberté,
Et le phare veille, fidèle à sa tâche étoilée,
Les âmes vagabondes trouvent refuge,
Dans ce port où l'espoir jamais ne se mue en déluge.

Alors laisse-toi bercer par le chant des marées,
Dans ce Havre où le temps semble figé,
Car ici, entre terre et mer, se dessine l'éternité,
Dans chaque vague, dans chaque souffle, dans chaque baiser.