Dominique Schelcher, PDG de Coopérative U, de crise en crise.

Habituellement discret, il revient pour nous sur le moment où, pendant la crise du covid, la grande distribution a failli ne plus être en mesure de nourrir les Français.

La crise du covid est une période que nous préférerions tous oublier et mais c’est aussi un moment où une solidarité inédite s’est organisée, notamment pour continuer à nourrir les Français…

Un épisode marquant pour chacun d’entre nous mais aussi pour les dirigeants de ces entreprises… c’est ce moment, un peu hors du temps, qu’a accepté de me raconter Dominique Schelcher, le PDG de Coopérative U.

Début 2020, il est en fonction depuis 18 mois et commence à peine à prendre la mesure de son poste lorsqu’il voit arriver la vague Covid, qu’il prend de plein fouet, puisqu’il habite en Alsace, tout près de l’endroit où sont détectés les tous premiers malades…

Avec Michel Edouard Leclerc et Thierry Cotillard d’Intermarché, le grand public le connait parce qu’il fréquente les studios de radio et les plateaux de télévision. Il y parle d’inflation, de négociations commerciales avec les industriels, des niveaux de ventes à la rentrée et à Noel… il n’en reste pas moins un homme discret, c’est son côté Alsacien austère.

Pour Secrets de dirigeants, il a accepté de parler un peu de lui et de donner à voir ce qu’il cache habituellement. C’est émouvant et touchant.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dominique Schelcher, PDG de Coopérative U, de crise en crise.

Habituellement discret, il revient pour nous sur le moment où, pendant la crise du covid, la grande distribution a failli ne plus être en mesure de nourrir les Français.

La crise du covid est une période que nous préférerions tous oublier et mais c’est aussi un moment où une solidarité inédite s’est organisée, notamment pour continuer à nourrir les Français…

Un épisode marquant pour chacun d’entre nous mais aussi pour les dirigeants de ces entreprises… c’est ce moment, un peu hors du temps, qu’a accepté de me raconter Dominique Schelcher, le PDG de Coopérative U.

Début 2020, il est en fonction depuis 18 mois et commence à peine à prendre la mesure de son poste lorsqu’il voit arriver la vague Covid, qu’il prend de plein fouet, puisqu’il habite en Alsace, tout près de l’endroit où sont détectés les tous premiers malades…

Avec Michel Edouard Leclerc et Thierry Cotillard d’Intermarché, le grand public le connait parce qu’il fréquente les studios de radio et les plateaux de télévision. Il y parle d’inflation, de négociations commerciales avec les industriels, des niveaux de ventes à la rentrée et à Noel… il n’en reste pas moins un homme discret, c’est son côté Alsacien austère.

Pour Secrets de dirigeants, il a accepté de parler un peu de lui et de donner à voir ce qu’il cache habituellement. C’est émouvant et touchant.

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Maïtena Biraben est une figure familière des téléspectateurs depuis 30 ans. Elle a notamment créé Les Maternelles sur France 5, puis animé Le Grand journal sur Canal+. Aujourd’hui, elle en est convaincue, il faut donner une place aux femmes de plus de 50 ans. Elle veut donner de ce sujet presque tabou une autre perspective : oui, la vie après 50 ans continue à être enthousiasmante, amusante et créative. Elle revendique « vouloir changer le discours politique sur les femmes hors du champ de la maternité ».

Elle projette dans un premier temps d’en faire une émission de télévision. Après avoir démarché toutes les chaînes, c’est le même constat : « femmes » et « plus de 50 ans » sont « deux gros mots ». Avec son franc-parler habituel mais sans aigreur, Maïtena Biraben décrit des chaînes frileuses qui ne peuvent plus se permettre de prendre des risques face à une réalité du marché et des enjeux qui ont changé.

Dans Secrets de dirigeants, elle raconte la manière dont elle a reconstruit son projet, avec son associée Alexandra Crucq, pour se tourner vers le digital. Maïtena Biraben apprécie la « prise directe avec son audience » qu’offre le numérique, un support « léger et facile » qui lui permet d’être « libre ».

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Que ferait-on face au pire des dictateurs ? L’interroger sur ses crimes bien sûr et tenter de le confondre. Chercher l’aveu. C’est la mission que c’était donné Bruno Patino, en 1992 en demandant un rendez-vous à Augusto Pinochet, le dictateur chilien. Pendant des mois, il attendu et espéré ce rendez-vous avec le diable… et lorsqu’il l’obtient enfin, il rit avec lui ! « Les bourreaux ressemblent à tout le monde. Mais ils ne sont pas tout le monde » dit-il.

De cette expérience unique et déroutante, il a fait un livre « Rire avec le diable », paru aux éditions Grasset.

Un rire qui, plus de 30 ans après, le fait toujours s’interroger. Mais pourquoi a-t-il ri avec cet homme qui incarne le mal absolu ?

C’est cette rencontre, et ce qu’il en a appris que je vous propose de découvrir dans cet épisode de Secrets de dirigeants.

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De cette expérience unique et déroutante, il a fait un livre « Rire avec le diable », paru aux éditions Grasset.

Un rire qui, plus de 30 ans après, le fait toujours s’interroger. Mais pourquoi a-t-il ri avec cet homme qui incarne le mal absolu ?

C’est cette rencontre, et ce qu’il en a appris que je vous propose de découvrir dans cet épisode de Secrets de dirigeants.

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Carlos de Cordoue, Directeur Général du Crédit Agricole en Ukraine « Il y a eu un acte de leadership, pour se battre y compris sur le front économique. Je me suis sentie porté par cet énergie »

C’est avec plaisir que je vous retrouve, un jeudi sur deux, à partir du 3 octobre pour une nouvelle saison de Secrets de dirigeants !

Et pour commencer, je vous propose un entretien avec un dirigeant à l’expérience… unique…

Au départ, c’est l’histoire classique d’un cadre dirigeant dans la banque, passant d’établissements, en filiales, tout en progressant régulièrement dans la hiérarchie. Un jour, puisqu’il a de l’expérience à l’international, sa direction lui propose de prendre la tête d’un pays, comme on dit, c’est-à-dire la Direction Générale d’une filiale à l’étranger, pour lui se sera l’Ukraine.

Là où cela se corse un peu, c’est qu’il arrive, de manière un peu précipitée en mars 2020, quelques heures seulement avant que le pays ne ferme ses frontières à cause de l’épidémie de covid.

Drôle de prise de fonction… mais l’histoire ne s’arrête pas là… puisque 2 ans plus tard… le pays est envahi par la Russie !

En une nuit, celle du 23 au 24 février 2022, le pays bascule dans la guerre, prenant de court les civils et l’opinion internationale. C’est le début de la guerre.

Aujourd’hui, Carlos de Cordoue fait partie de la petite poignée de patrons Français rester en Ukraine, où sa banque continue à fonctionner normalement.

Dans cet entretient il évoque la capacité de résilience des Ukrainiens, qui en quelques heures ont complétement changé de logiciel pour entrer en mode résistance. Un entretien surprenant et plein d’espoir !

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Céline Kajoulis vous donne rendez-vous le 03 octobre pour la saison 4 de Secrets de dirigeants !

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Pour cet épisode, je vous propose de découvrir un parcours mais surtout un métier, celui de producteur de cinéma. Un métier méconnu mais indispensable à l’avenir du cinéma Français. À 42 ans, Dimitri Rassam est encore considéré comme un jeune producteur, pourtant, il a déjà beaucoup d’expérience. Il a produit plusieurs succès, comme Le Prénom, avec Patrick Bruel, mais aussi Papa ou Maman 1 et 2 et le film d’animation Le Petit Prince. L’an dernier, il a fait un carton au box-office avec les 2 épisodes des 3 Mousquetaires. Plus de 6 millions d’entrées en France et une belle carrière à l’international.

Il faut dire que, comme un héros de bande dessiné, il est tombé dans le cinéma tout petit. Si vous voulez découvrir sa famille, regardez le remarquable documentaire de Michel Denisot « La saga Rassam-Berri, le cinéma dans les veines ».

Dans ce podcast, il nous explique pourquoi il a choisi ce métier, ce qui le guide, l’importance de la transmission et du patrimoine, et pourquoi il aime les bains de glace !

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