French Canadian Fiction

Cheveux blonds comme les blés, écharpe au vent... le petit prince est connu de tous. Les aventures de cet enfant pur et innocent tombé du ciel sont emplies d’amour, de poésie et de vérité. Voilà un message qui nous incite à poser un regard neuf sur notre humanité et notre condition humaine. C’est une invitation à revenir à l’essentiel, à célébrer la vie dans son expression la plus noble, en toute simplicité, avec les yeux du cœur.

Ashley Jaswal, prof de littérature et coach de hockey féminin, ne se laisse pas faire... sauf par les membres de sa famille autoritaire et superstitieuse. Tous croient qu'elle est un porte-bonheur pour son jeune frère Jas, qui vient d’être repêché par les Canucks de Vancouver. Ashley se sent obligée de sacrifier sa vie personnelle pour s’occuper de son frère égoïste et ingrat tandis qu’il gravit les échelons de la Ligue nationale de hockey.

Maintenant que l’été est terminé, la nouvelle année scolaire promet d’être mouvementée pour les BFF. Surtout que Nadeige est de retour au collège. Elle a une fois de plus décidé de faire passer son amitié avec Émy-Lee avant ses amours. Sans nouvelles de Mathias, elle fait une croix sur les garçons. De toute manière, elle a bien d’autres soucis en tête, dont la présence temporaire d’une jeune fille dans sa propre maison!

Norris is clever, cynical, and quite possibly too smart for his own good. A Black French Canadian, he knows from watching American sitcoms that those three things don’t bode well when you are moving to Texas. Plunked into a new high school, Norris finds himself cataloging everyone he meets: the Cheerleaders, the Jocks, the Loners, and even the Manic Pixie Dream Girl. Making a ton of friends has never been a priority for him, and this way he can at least amuse himself until it’s time to go back to Canada, where he belongs. Yet those labels soon become actual people to Norris....

Rien ne va plus pour Nadeige et Émy-Lee. À peine revenues de leur croisière dans les Caraïbes, celles-ci ont peine à se remettre de leurs émotions. Dévastée par sa rupture avec le beau Maxime-Alexandre, Émy-Lee poursuit tant bien que mal son année au collège. Non seulement elle a le coeur brisé, mais la distance qui la sépare de sa BFF lui rend cette épreuve quasiment impossible à surmonter.

En cette nouvelle année scolaire, la promesse que se sont faite Émy-Lee et Nadeige est plus que jamais difficile à tenir. Obligées de commencer leur deuxième secondaire dans des écoles différentes, les deux amies ne reculent devant rien pour tenter de renverser la vapeur: Émy-Lee décidera d’établir une stratégie pour inciter ses parents à l’inscrire au collège de sa best, tandis que Nadeige accumulera les manigances pour se faire renvoyer de cette institution qu’elle déteste tant.

China White : la voie de Dharma est un polar enlevant de l’autrice canadienne Sarah Richards, où les femmes sont à l’avant-plan. Dans cette histoire de survie et de rédemption, Styvie Savard, une ex-policière déchue, forme une alliance improbable avec une adolescente en fugue à la situation précaire. Ensemble, elles devront affronter un baron de la drogue et un gourou menaçant. Plongez avec elles au cœur des bas-fonds de Vancouver, dans cette quête de justice à tout prix qui brouille les frontières entre le bien et le mal.

Oracle est un suspense psychologique, où l'on suit Nate Russo, un médium du FBI qui aide à résoudre des enlèvements et des homicides en touchant les proches des personnes disparues. Son don unique a toutefois un prix terrible: il voit les moments d'horreur ayant précédé la disparition des victimes. Ce polar captivant, écrit par l'auteur à succès Andrew Pyper, traduit de l'anglais par Cécile Arbus et interprété par Patrice Labbé, combine enquêtes criminelles, éléments surnaturels et intuition.

Moi : En tout cas, tu vas être content, puisque je m’en vais dans deux jours ! Tu me verras plus et je serai plus là pour me mêler de tes affaires ! Colin : Génial ! Moi : Super ! Il est allé s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte et moi...moi, je suis restée là, les bras ballants, sans savoir quoi faire. Je n’avais pas d’endroit où aller pour me calmer et pour reprendre mes esprits. Ou pour pleurer....

Pourquoi voit-on si peu Sophie au salon ? C'est que Sophie est souvent consignée dans sa chambre. Et pourquoi Sophie est-elle si souvent consignée ? C'est que Sophie fait des bêtises, énormément de bêtises, les plus belles bêtises jamais commises !

C’est parti pour une croisière dans les Caraïbes! Mais pas question pour Émy-Lee et Nadeige de traîner leurs mauvaises habitudes sur ce grand bateau. Rien de mieux qu’un pacte pour devenir la version 2.0 d’elles-mêmes. Toutefois, leur voyage est bien plus mouvementé que prévu! Elles comprendront assez vite qu’il n’est pas facile d’affronter ses peurs et de régler ses histoires de coeur.

Dans le champ où il vient d’atterrir pour offrir des baptêmes de l’air à trois dollars les dix minutes, Richard aperçoit un autre zinc tout semblable au sien. Adossé à sa carlingue, un personnage sympathique et mystérieux cherche à fuir le rôle de maître à penser à qui les foules demandent toujours plus. Il lui apprendra que chaque être humain peut se libérer des barrières qu’il a lui-même construites comme autant d’illusions sur sa propre existence. Il lui suffit pour cela de suivre une idée simple...

"J’ai encore TREIZE ans. Mon anniversaire est seulement dans SEPT semaines. Le secondaire commence dans moins d’UN mois! Et en plus, j’ai DEUX horribles boutons qui sont apparus sur mon menton, ce matin! Cream puff, il va me falloir une sloche à la framboise bleue pour oublier tout ça!"

Émile: Dégage, j’ai dit. Moi: Ben là... Émile: Je suis sérieux, je veux plus te voir. Moi (en me relevant lentement): Je sais pas ce que t’as, aujourd’hui, mais t’es méga plate. J’étais venue pour te demander un service, pis tu me jettes dehors! T’es...t’es rien qu’un débile! Émile (calmement): Ouais, je sais.... C’est tout ce que je suis. Un vrai de vrai débile. Émile le débile, c’est pas comme ça que tout le monde m’appelle, de toute façon?

Tout le monde m’a toujours dit que ma vie pourrait être adaptée en une série télévisée, tellement je me retrouve toujours dans des situations invraisemblables. Pour vrai, même en te les racontant, j’ai de la difficulté à croire que c’est de ma vie qu’il est question. Pas de bon sens, je te dis!

Moi: J’ai des petites nouvelles pour toi! Tu vaux rien du tout! T’es un microbe! Une fourmi! Un virus! UNE BACTÉRIE!!! Émile le débile: Ouuuuuh… ça me touche, ce que tu me dis. J’ai de la grosse pe-peine. Je vais presque me mettre à pleurer. Moi: Je m’en fous! Je suis juste ben contente que ma cousine ait compris quel genre de gars tu es. Et je vais m’assurer que toutes les filles qui te croiseront le sachent, elles aussi!

Eth bien, j’ai des petites nouvelles pour toi, Dylane Morin! Je ne vais t’accorder aucune chance! C’est moi qui vais remporter ces élections! Parce que, contrairement à toi, j’ai d’autres priorités dans la vie que le maquillage et les vêtements! Maintenant, laisse-moi tranquille, j’ai des occupations hautement plus importantes!

J’aimerais mieux qu’on ne soit plus amis, toi et moi.... Moi: Quoi? T’es venu ici pour me dire ça! C’est vraiment, mais vraiment pas cool de ta part! En plus, je ne suis pas d’accord du tout! Je m’étais redressée sur le matelas et Colin a fait pareil. Il m’a attrapée par les épaules pour que je me calme. (Parce que j’étais pas mal en mode panique, je dois bien le dire....) Et là, en me regardant dans les yeux, il a ajouté: Colin: Je ne veux plus être ton ami, parce que je t’aime. Et j’aimerais être ton chum....

Après avoir été en froid avec mes amis et m’être attiré les foudres de Chloé, l’ex-reine incontestée de l’école, je viens encore de me mettre royalement les pieds dans les plats ! J’ai réussi à me disputer avec ceux qui comptent le plus pour moi : ma sœur Coralie, mon «grand frère» J-P et Sophie-Rose, ma meilleure amie. Maintenant, ils m’ignorent et m’en veulent tous à mort. En essayant de ne plus être la fille qui sourit et dit oui à tout sans broncher, je ne suis parvenue qu’à blesser ceux que j’aime et me retrouver (presque) tout e seule.

Moi (en changeant mes sacs d’épicerie de main, car je commençais à avoir mal aux paumes): P’pa.... Tu vas y retourner quand, chez le concessionnaire, pour choisir une autre auto? Moi (en roulant les épaules, vu la lourdeur des sacs): Papa! Je te parle! Mon père (en réagissant enfin): Oui, je t’entends! Mais je n’ai...je n’ai pas prévu y retourner. Pas pour le moment, en tout cas.