• GIS S.mart les origines
    Jan 23 2024
    Naissance de PRIMECA

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  • L'histoire du pôle AIP-Primeca Rhône-Alpes-Ouest
    Jan 15 2025
    La création du pôle Rhône-Alpes-Ouest date de 1987 alors que les premiers pôles ont été créés en 1984. On était déjà bien au-delà du deuxième choc pétrolier, les technologies se mettaient en place. L'un des rôles des pôles à AIP a été d'accompagner le changement technologique et le diffuser au sein de l'enseignement supérieur et également au niveau des laboratoires. C'est vraiment la première mission : créer des plateformes pédagogiques permettant de mettre en œuvre les nouvelles technologies et de les mettre à disposition des étudiants, enseignants, enseignants-chercheurs dans les différents établissements, et à la disposition des entreprises.

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    9 mins
  • Favoriser l'excellence en conception et en production
    Apr 7 2025

    Alain Bernard est Professeur Honoraire à Centrale Nantes, membre du Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes (LS2N UMR CNRS 6004), Président d’Honneur France Additive, Membre de l’Académie des Technologies et CIRP Fellow Emeritus.

    Il a participé à l'animation et au maillage des pôles AIP-PRIMECA. Ses fonctions dans les institutions gouvernementales et scientifiques ont mis en lumière la nécessité d'animer un réseau unique de ressources technologiques et scientifiques pour améliorer la recherche et l'enseignement au cœur des thématiques de l'Industrie du Futur.


    " Au tout début, le réseau a vu son démarrage avec la création des Ateliers Interétablissements de Productique, ce qui veut dire que c'était des structures, on parlait beaucoup de productique dans la fin des années 70-début des années 80, et donc il était nécessaire de mettre en place des structures physiques basées sur des machines à commande numérique modernes, un peu de robotique déjà.

    Ensuite est arrivé grâce à un groupe qui était une émanation de l'Académie des Sciences qui était le CADAS de l'Académie des Sciences, qui est aujourd'hui l'Académie des Technologies - à laquelle j'ai eu le plaisir et l'honneur d'être élu en 2018 -, le CADAS a soutenu PRIMECA.


    L'enjeu était d'éviter que les établissements d'enseignement supérieur et de recherche fassent en quelque sorte les poubelles des grands industriels français et récupèrent des matériels obsolètes pour faire la formation des ingénieurs et des techniciens de demain. Grâce à AIP et PRIMECA, le tissu universitaire a pu disposer de moyens modernes pour former les étudiants à des nouvelles technologies, actuelles déjà, mais aussi technologies très prometteuse qui ont continué à avoir une progression importante.


    Ensuite, début des années 2000, le ministère a demandé, parce que le ministère finançait les AIP et PRIMECA pour des investissements essentiellement, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche a demandé la fusion des deux. Pourquoi ? Parce que la plupart des matériels qui étaient achetés dans le cadre de PRIMECA se retrouvaient sur des plateformes AIP et donc de facto AIP-PRIMECA était devenu une dynamique nationale unique au profit de tout ce qui était conception, innovation, conception et production. Il y a eu donc eu un continuum jusqu'au milieu des années 2010 où là s'est posée la question du financement d'un certain nombre de structures, et pour AIP-PRIMECA la question s'est posée. Le principal reproche était : “c'est quelque chose d informel qui n'a pas d'existence, on ne voit pas trop...”. A cette époque là, j'étais conseiller scientifique au ministère et il se trouve que le dossier est arrivé sur mon bureau. On m'a demandé de faire une note sur AIP-PRIMECA et d'en expliquer un peu les vertus, le bien-fondé et également l'intérêt de continuer à financer ce type de démarche.


    Depuis cette période là, le ministère a été sensibilisé d'abord à l'existence d’AIP-PRIMECA. C'est comme ça que l'animation nationale a continué à être financée, alors qu'il n'y a que très peu, à ma connaissance, deux réseaux seulement en France qui sont financés comme ça.


    Dans toutes ces démarches l'enjeu a été de trouver des tiers-lieux dans lesquels mettre à disposition de l'ensemble des acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche locaux de ces pôles, un ensemble de matériels très innovants que chacun n'aurait pas eu l'opportunité d'acheter en propre et également de mutualiser des personnels techniques afin de pouvoir les valoriser et faire en sorte qu'ils soient accessibles à un maximum d'acteurs pour pouvoir avoir une ouverture vers des technologies qui sont très, très plurielles, que ce soit des automatismes industriels, que ce soient des machines modernes, de la robotique dans tous les domaines, tout ce qui peut favoriser l'excellence en conception et en production."



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    27 mins
  • Les débuts de l'entreprise virtuelle
    Apr 10 2025

    Joël Favrel a participé à l’implantation et à l’essor du pôle AIP-PRIMECA Rhône Alpes Ouest, qu’il a même dirigé au tournant des années 1990 jusqu'en 2004.

    Il témoigne de l’intégration dans la recherche et dans l’enseignement de concepts, de machines, de logiciels qui à l’époque étaient innovants voire disruptifs : imprimante 3D, entreprise virtuelle, enseignement à distance.

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