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Comprendre au mieux le fonctionnement de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir, dans un premier temps, la détecter au plus tôt, voilà tout l’enjeu de la première phase de recherches qui a été menée depuis une dizaine d’années au sein de l’Institut Baulieu.

Mais tout part d’une hypothèse, formulée par le Pr Baulieu, qui a ouvert un nouvel horizon pour le traitement des maladies neuro-dégénératives.

Alors dans ce premier épisode, on découvre quelle étincelle a été à l’origine des recherches.

On y fait aussi la connaissance des fameuses protéines TAU et FKBP52.

Et on croise les chercheurs Davide Tempelini et Gerri Meduri.

Et bien sûr le Pr Baulieu. 

Pour soutenir les chercheurs de l'Institut Baulieu, faites un don par carte bancaire ou via Paypal en vous rendant sur le site : www.institut-baulieu.org

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Des pipettes, des microscopes, des boîtes de pétri, des neurones, des protéines, des peptides, des hypothèses, des expériences, des souris et des hommes… 

Alors que la maladie d’Alzheimer frappe souvent sans prévenir, notamment au-delà de 80 ans, et que près de cinquante pour cent des enfants nés dans les années 2000 seront centenaires, rendant l’enjeu des maladies neuro-dégénératives crucial, on a poussé dans cet épisode les portes d’un laboratoire, celui du Pr Baulieu, pour comprendre un peu mieux comment sont menées aujourd’hui les recherches. Quelque part au sein de l’institut, situé dans l’hôpital du Kremlin-Bicêtre nous avons interrogé Cylian Byrne, chimiste, Julien Giustiniani, docteur en biochimie et en biologie cellulaire, Corentin Daguinot ingénieur d’études et Mélanie Genet, technicienne de laboratoire.

Tous travaillent au sein de l’Institut pour faire avancer la recherche.

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Quittons un instant les laboratoires de l’Institut Baulieu et explorons le versant humain de la maladie d’Alzheimer car son impact ne se limite pas à celles et ceux qui sont diagnostiqué·e·s. Il atteint aussi tout son entourage.

Aider, accompagner, soutenir un ou une malade d’Alzheimer est le sort de plus en plus de personnes. Des personnes qui se trouvent confrontées à une situation pour laquelle elles ne sont pas préparées. 

Nous sommes donc allés à la rencontre de trois personnes directement concernées : Vincent Valinducq, médecin généraliste ; Laurent Stocker, sociétaire de la Comédie Française ; et Béatrice Gurrey, grand reporter au Monde. Chacune et chacun ont été ou sont encore confrontés à la maladie par le biais d’un de leurs très proches.

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Au fil des précédents épisodes nous avons découvert la prometteuse piste de recherche suivie par les scientifiques de l’Institut Baulieu. Celle qui met en jeu la protéine FKBP52, découverte il y a quelques années par le Pr Baulieu.

Et pour ce dernier épisode, nous nous tournons vers l’avenir. Un avenir où, peut-être, des réponses thérapeutiques pourraient être trouvées.

Mais le temps de la recherche scientifique n’est évidemment pas celui des médias ou de la politique. Les dix premières années de travail au sein de l’Institut Baulieu ont été consacrées à ce que l’on appelle la recherche “fondamentale”. C’est-à-dire d’abord de comprendre en détails le fonctionnement de la maladie.

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